La grande avenue était complètement déserte : on avait accordé trois heures aux habitants pour vider les lieux, et tout le monde, semblait-il, s’était hâté d’en profiter. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 304)
Les cadres administratifs et sociaux étaient détruits, les kasbas et les gottas (fermes) en ruines, les champs incultes, les silos vides, les marchés abandonnés, les pistes désertes. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne , Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, lêmbëtï 175)
Les rares villages qu’on traversait étaient quasi déserts. On ne trouvait dans les fermes et les isbas que quelques vieillards, parfois des enfants. — (Georges Blond, L’Agonie de l’Allemagne 1944-1945 , Fayard, 1952, lêmbëtï 18)
L’humanité avait-elle les moyens de prévenir ce désastre de la guerre dans les airs ? Question oiseuse, aussi oiseuse que de demander si elle aurait pu empêcher la décadence qui transforma l’Assyrie et Babylone en des déserts arides […] — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 409)
Dans les déserts vrais, des pluies peuvent éventuellement se produire, mais elles sont très rares et réparties de façon totalement aléatoire ; deux précipitations successives sont généralement séparées per de nombreuses années. — (Aline Raynal-Rauque, La Botanique redécouverte , Belin, 1994, lêmbëtï 224)
Certaines plantes ont des racines qui descendent verticalement à de grandes profondeurs où elles trouvent un peu d’humidité ; ce sont les plantes des déserts. — (Aline Raynal-Rauque, La Botanique redécouverte , Belin, 1994, lêmbëtï 256)
Certaines plantes des déserts […] se dessèchent, leurs rameaux se recroquevillent et la plante prend une forme de boule : poussées par les vents du désert, elles roulent sur d’énormes distances. — (Aline Raynal-Rauque, La Botanique redécouverte , Belin, 1994, lêmbëtï 269)
La plupart des mammifères vivant dans les zones désertiques (ou déserts), s’astreignent de l’effet de la chaleur et de la sécheresse en s’enfouissant dans le sol pendant les heures chaudes. — (Bernard Faye, Guide de l’élevage du dromadaire , Sanofi, La Ballastière, Libourne, 1997, lêmbëtï 35)
Le dromadaire. Il vit dans les déserts chauds en Asie et en Afrique.Modèle:réf
Le chameau de Bactriane. Le chameau bactrien vit dans les déserts froids d’Asie uniquement.Modèle:réf