effrayer
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Palî [Sepe]
effrayer \e.fʁɛ.je\ palî tî mbenze
- mû mbeto
- Des soudacs et des esturgeons tout argentés battaient l'eau de leur queue puissante et effrayaient les sterlets et les ombres-chevaliers. — (Victor Tissot, La Russie et les Russes: Indiscrétions de voyage , Éditions E. Dentu, 1882, lêmbëtï 225)
- J’effraye Michal comme on effraye une cousine en Normandie, avec l’aide d’une rainette, d’une araignée. — (Jean Giraudoux, Retour d’Alsace - Août 1914 , 1916)
- Vous me le paierez ! Mais cela ne prenait plus, et tous étaient persuadés qu’il ne gueulait ainsi que pour effrayer les gens. — (Louis Pergaud, « Un petit logement » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- (Wapolïpa) Ahmed Abdou s’effrayait aussitôt, et craignait que la graine dure et traîtresse, cachée sous les fibres, ne blessât la fillette. — (« Zariffa » na Out-el-Kouloub, Trois contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine