embarras
Apparence
Pandôo
[Sepe]embarras \ɑ̃.ba.ʁa\ linô kôlï
- mi
- Il y a toujours de l’embarras dans cette rue. Un embarras de voitures. Faire, causer un embarras. Se tirer d’un embarras.
- Elles sont bien sombres, ces rues, bien boueuses, bien encombrées de voitures, de caisses, de ballots, de paquets de toute espèce, et c’est difficilement que nous parvenons à nous faufiler au milieu de ces embarras sans cesse renaissants. — (Hector Malot, Sans famille , 1878.)
- Pas une querelle entre nous ; chez lui pas la moindre marque de la supériorité que lui donnait sa position, et chez moi pas le plus léger embarras ; je n’avais même pas conscience que je pouvais être embarrassé. — (Hector Malot, Sans famille , 1878.)
- Entrés dans la campagne, notre embarras commença. — (Gustave Flaubert et Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne) , 1886, Le Livre de poche, 2012, page 174}.)
- (Mbumbuse, Zäzämä) moyayä
- Faire de l’embarras, des embarras, ses embarras : Se donner de grands airs, ou afficher des prétentions ridicules, quand on voit le résultat.
- Cet homme fait bien de l’embarras, bien des embarras.
- […] Fezensac est malade, ce sera Duras qui mènera tout, et vous savez s’il aime à faire des embarras, dit le duc qui n’était jamais arrivé à connaître le sens précis de certains mots et qui croyait que faire des embarras voulait dire faire non pas de l’esbroufe, mais des complications. — (Marcel Proust, À la recherche du temps perdu , 1920–1921, tome 3 Le Côté de Guermantes)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine