esclave
Apparence
Pandôo 1
[Sepe]esclave \ɛs.klav\ linô kôlï wala linô gâtï
- ngbâa
- Le second document n’est pas plus exact que le premier, car il ne dit pas si tous les esclaves entrés dans le port de Rio ont été le produit d’un commerce direct entre cette place et l’Afrique. — (« Brésil. - situation financière » na Revue des Deux Mondes , 1829, tome 1)
- Dans les premiers âges historiques, on ne voit pas seulement les maîtres frapper et fouetter leurs esclaves ; les rois eux-mêmes administrent le supplice de la bastonnade. — (« La bastonnade et la flagellation légales » na Le Magasin pittoresque , 1854, volume 8, lêmbëtï 54)
- Le Concile de Mâcon (581) recommande aux chrétiens de racheter les esclaves chrétiens servant chez les juifs, pour le prix de 12 sols. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
- Les marchés d’esclaves les plus importants étaient ceux de Fez et de Marrakech. Je n’ai vu que ce dernier. — (Frédéric Weisgerber, Au seuil du Maroc Moderne , Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, lêmbëtï 33)
- La masse servile, issue des deux dernières castes, représente près de 10 % de la population, faisant de la Mauritanie le pays qui connaît le taux d’esclaves le plus élevé au monde. — (Zineb El Rhazoui, « Mauritanie : esclaves contre dieux et maîtres » na Charlie Hebdo , 7 Nyenye 2015)
Pasûndâ
[Sepe]esclave \ɛs.klav\ linô kôlï wala linô gâtï
- tî mängö yângâ, tî ngbâa
- Avoir une âme esclave.
- Être esclave, être tellement attaché au service de quelqu’un, ou à quelque emploi, qu’on ne peut s’éloigner, ni faire autre chose.
- On est esclave auprès de ce maître-là.
- On est esclave, tout à fait esclave dans cet emploi.
- Être esclave de la faveur, être esclave de ses intérêts, de ses passions, faire tout pour la faveur, pour ses intérêts, pour satisfaire ses passions.
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï