facteur
Apparence
Pandôo 2
[Sepe]facteur \fak.tœʁ\ linô kôlï
- (Datokua) wakängbïngö-mokandâ
- Il descend dans le pays en songeant qu’il est facteur. C’est une bonne place, un bon métier. On peut dire tout ce qu’on voudra sur le métier de facteur – et au fond, il n’y a rien à dire – mais c’est un bon métier. L’uniforme, il faut en avoir soin, bien entendu, mais pour celui qui en a soin, il fait propre. Quand on rencontre un facteur, on voit tout de suite qu’il est facteur. — (Marcel Aymé, La Jument verte , Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, âlêmbëtï 81-82)
- Quand il entrait dans les maisons, c’était l’habitude de rire. On disait : « Voilà le facteur. » Et il répondait : « Oui, c’est moi. » On riait parce que c’était plaisir de voir entrer un bon facteur. — (Marcel Aymé, La Jument verte , Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 132)
- Honoré regardait le facteur et lui voyait bonne face, large et pleine, une face d’homme tranquille qui ne voit pas plus loin que son nez, mais qui voit son nez, et qui le voit bien ; une face de bon facteur qui arrive, à force de suivre son nez, à finir sa tournée sans se tromper une fois. — (Marcel Aymé, La Jument verte , Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, lêmbëtï 249)
- Aujourd'hui, chacun calé dans sa bulle électromagnétique de Wi-Fi, c'est une autre vie qui commence. Une incarcération chez soi, dans laquelle il sera possible d'avoir accès à tout sans jamais voir personne - pas même son facteur. — (Aude Lancelin, « Tombeau pour Virgin Megastore » na Marianne , 12 Nyenye 2012)
Âkpalêtôngbi
[Sepe]Âlïndïpa
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