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faire-part

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

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faire-part \fɛʁ.paʁ\ linô kôlï

  1. mbëtïzëngö
    • Un faire-part imprimé, collé contre une vitre, annonçait la mort d’un client. […]. Cet avis mortuaire, avec son laconisme, me parut d’une indicible tristesse […]. — (Francis CarcoMessieurs les vrais de vrai , 1927)
    • La coutume était de s’entraider, en ce temps-là, et mon père n’avait jamais failli à la règle, bien au contraire. Aux enterrements par exemple, comme le plupart des gens n’avaient pas les moyens de faire imprimer des faire-part, c’est lui qui s’en chargeait. Il inscrivait le texte au tableau noir et toute la classe le recopiait soigneusement sur de beaux papiers blancs entourés de noir. Les exemplaires qui n’avaient pas de fautes d’orthographe étaient seuls utilisés et l’exercice comptait pour le classement de fin de mois. — (Jean L’HôteLa Communale , Seuil, 1957, réédition J’ai Lu, lêmbëtï 22)
    • Mais quand l’addition arriva, mon père et mon oncle eurent, en la découvrant, l’expression qu’on a en ouvrant un faire-part mortuaire. Ils appelèrent le maître d’hôtel. — (Jean L’HôteLa Communale , Seuil, 1957, réédition J’ai Lu, lêmbëtï 156)

Âlïndïpa

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