fenêtre
Apparence
Pandôo
[Sepe]fenêtre \fə.nɛtʁ\ linô gâlï
- (Sêndâkodë-da) nyöpulâ, fenêtere/finêtere
- Tout à l’heure, en traversant une petite ville, à je ne sais quelle fenêtre borgne, dans une rue triste et terne, j’ai vu un corsage de velours noir se pencher à demi au-dessus d’une fenêtre et de grands yeux noirs jeter un éclair. — (Hippolyte Taine, Voyage en Italie , 1866, volume 2)
- Qu’avez-vous donc ? demanda Coconnas à La Mole, qui, arrêté à la vue du vieux château, regardait avec un saint respect ces ponts-levis, ces fenêtres étroites et ces clochetons aigus qui se présentaient tout à coup à ses yeux. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre V)
- Par la fenêtre entr’ouverte, l’air entrait, gonflant comme une voile les rideaux de mousseline, et j’apercevais un pan de ciel bleu, […]. — (Octave Mirbeau, La Chambre close , 1920)
- Des fenêtres, là-haut, s'ouvrent, creuses et noires comme des orbites béantes dans le crâne d'un squelette. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde , 1931)
- Elle disposa les fleurs au chevet, fit arrêter le balancier de l'horloge, voiler les glaces et les miroirs, fermer les fenêtres et cacher les portraits. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes , L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, âlêmbëtï 21)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï