fleuve

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

fleuve \flœv\ linô kôlï

  1. (Sêndâsêse) bale, kötä ngû
    • Le débit, le régime d'un fleuve.
    • Quatre grands fleuves, ayant leurs sources dans les mêmes montagnes, divisaient ces régions immenses : le fleuve Saint-Laurent qui se perd à l’est dans le golfe de son nom, la rivière de l’Ouest qui porte ses eaux à des mers inconnues, le fleuve Bourbon qui se précipite du midi au nord dans la baie d’Hudson, et le Meschacebé qui tombe du nord au midi dans le golfe du Mexique. — (François-René de ChateaubriandAtala, ou les Amours de deux sauvages dans le désert , 1801)
    • Au réveil, dans les premières blancheurs de l’aube apparaît un fleuve qui tourne sous ses fumées matinales, […]. — (Hippolyte TaineVoyage en Italie , volume 2, 1866)
    • Cette Mersey, comme la Tamise, n’est qu’une insignifiante rivière, indigne du nom de fleuve, bien qu’elle se jette à la mer. — (Jules VerneUne ville flottante , Chapitre I)
    • Le succès, déjà, hésitait, lorsque, des montagnes, la Piave, fleuve appauvri, devint soudain un effroyable torrent, emportant les ponts, les bacs, les chaînes de bateaux formant routes de convoi. Vingt régiments, en quelques heures, furent bloqués, adossés au fleuve. — (Jacques MortaneLa Guerre des Ailes : Leur dernier vol , Éditions Baudinière, 1931, lêmbëtï 15)
    • Les grands fleuves, qui n'avaient pas assez de pente pour descendre à la mer, erraient çà et là, comme incertains de la voie à suivre, et croupissaient en grandes flaques stagnantes sur les sables de la côte. — (Edmondo de Amicis, La Hollande , 1878)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï