Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

footballeuse \fut.ba.løz\ linô gâlï

(Mozën tî Angelëe) (Nguru, Ndembö tî gerê) wandembö tî gerê
- Elle m’a dit qu'elle était footballeuse. — Footballeuse ? C’est comme ça qu’elle s’est fait toutes ces cicatrices, alors ? Diverses interventions chirurgicales, à un poignet, à une cheville et au genou droit, avaient laissé des marques sur sa peau. — (Kresley Cole, Les Ombres de la nuit , tome 11, Paris, J'ai lu, 2014)
- Il faut tout d’abord laisser de côté tout purisme : on tressaille déjà au nom de « footballeuse », mais on frémit à l’idée qu’un jour « la gardienne de but, bien protégée par ses arrières bétonneuses ou verrouilleuses », pourrait tenir en échec « les buteuses ou les shooteuses de l’équipe adverse » !— (« La première fois que « Le Monde » a écrit « footballeuse » » na Le Monde, 7 juin 2019 → dîko mbëtï)
- C’est pourquoi, pour la rédaction de Libé, il a paru « naturel de féminiser les postes des footballeuses ». — (« “Gardienne”, “buteuse”, “entraîneure” : juste une question de vocabulaire ? » na Éliane Viennot, Libération , 17 Föndo 2019 → dîko mbëtï)

Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine