goulot
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
goulot \ɡu.lo\ linô kôlï
- yângâ (tî yê)
- Belhumeur introduisit entre ses dents serrées le goulot d’une bouteille de cuir pleine de rhum, et l’obligea à boire quelques gouttes de liqueur. — (Gustave Aimard, Les Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
- La codia saisit alors une bouteille d’eau de fleurs d’oranger ; elle porte le goulot à ses lèvres, gonfle sa bouche de liquide qu’elle recrache à la façon des repasseurs aspergeant leur linge. — (Out-el-Kouloub, « Nazira » na Trois contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- On me proposa du café et, chose curieuse, je fus convié à l’arroser d’une dose de rhum qu’on fit basculer d’une bouteille, emmanchée d’un goulot-verseur. — (Antoine Blondin, Monsieur Jadis ou l'École du soir , 1970, réédition Folio, 1972, lêmbëtï 181)
- Ils sont bientôt tous les cinq réunis autour de la table, vautrés sur les chaises, à boire la bière au goulot et à faire tourner des joints. — (Hannah Richell, La Maison du lac , traduit de l'anglais par Florence Hertz, Paris : chez Belfond, 2015, chapitre 2)
- (Sêkpängö) yângâ (tî zo)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine