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gueuse

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo 2

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gueuse \ɡøz\ linô gâlï

  1. (Hëngö-ndo, Mbäkôro) wâlï-wayërë
    • Le Truculentus représente la vie et les gestes d'une gueuse, qui, par sa rapacité, ses éhontements et l'impudence de sa mauvaise foi, révolterait même les blasés de nos petits théâtres. — (Edelestand Pontas Du MérilHistoire de la comédie ancienne , Paris : chez Didier & Cie, 1869, volume 2, lêmbëtï 285)
    • Les fédérés essayèrent encore de se remettre aux pièces ; mais ils n’étaient pas assez nombreux, et puis Montmartre leur faisait peur. Alors ils entrèrent dans un caveau et se mirent à boire et à chanter avec leurs gueuses. — (Alphonse Daudet, « La bataille du Père-Lachaise » na Contes du lundi , 1873, Fasquelle, réédition Le Livre de Poche, 1974, lêmbëtï 136)
    • L’homme, rouge comme un coquelicot, bredouillait de colère :
      — Ah ! tu l’avoues donc, gueuse ! Et qu’est-ce que c’est, ce merle-là ? Un va-nu-pieds, un sans-le-sou, un couche-dehors, un crève-la-faim ? Qu’est-ce que c’est, dit ?
      — (Guy de Maupassant, « Histoire d’une fille de ferme » na La maison Tellier , 1891, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 110)
    • Il saisit Madeleine par les épaules : — « Viens, je le veux, dit-il, je t’ai défendu de parler à ces gueuses. » — (Guy de Maupassant, « La femme de Paul » na La maison Tellier , 1891, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 231)
    • La gueuse parfumée, surnom donné à la Provence.
    • Courir la gueuse, mener une vie de débauche.

Âlïndïpa

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