ivrogne
Apparence
Pandôo
[Sepe]ivrogne \i.vʁɔɲ\ linô kôlï wala linô gâtï
- wanyöngö-sämba
- Parmi les louanges qu’on donne à Bacchus, la plus glorieuse sans doute, c’est qu’il dissipe les soucis, les inquiétudes et les peines. Mais ce n’est pas pour longtemps: l’ivrogne cuve son vin, et les chagrins reviennent en poste. — (Érasme, L’Éloge de la folie , gbïänngö tî Jean-Charles Laveaux, 1780, 1509)
- Croyez-vous, s’écrie-t-il, croyez-vous qu’il m’a demandé un pourboire, cet ivrogne de moujik ! — (Jules Verne, Claudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 4)
- Au personnage de Saint Jean-Baptiste y serait substitué celui d'un ivrogne sentencieux et vitupératif. — (Pierre Lasserre, Philosophie de Goût musical , Les Cahiers verts n° 11, Grasset, 1922, lêmbëtï 80)
- Les bancs, malgré le froid, avaient leurs dormeurs recroquevillés, leurs miséreux, leurs ivrognes de chaque nuit. Cette déchéance m’emplit de pitié, de tristesse […] — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai , 1927)
- L’ivresse alcoolique est une expérience qui fait de l’ivrogne un poète et du soulographe un génie. — (Jean-Didier Vincent, Voyage extraordinaire au centre du cerveau , Odile Jacob, 2007, lêmbëtï 175)
- De toute éternité, l’univers a compté
Plus de suce-goulots qu’il n’y a d’honnêtes gens
Plus d’ivrognes que de dames de charité
Plus de fesse-tonneaux que de chênes pensants. — (Frank Giroud, Le Prince des amphores , 1998)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine