mépriser
Apparence
Palî
[Sepe]mépriser \me.pʁi.ze\
- zere
- Si les esprits les plus distingués sont accessibles à la vanité, comment ne pas absoudre l’enfant qui pleure de se voir méprisé, goguenardé ? — (Honoré de Balzac, Le Lys dans la vallée , 1836)
- Elle se dit qu’il fallait montrer aujourd’hui tout son courage, être comme ces femmes de la ville, ces grandes dames qui savent mépriser les hommes peu fidèles et regarder avec hauteur leur légèreté oublieuse. — (« Zaheira » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- (Könöngö) zere
- Il a toujours méprisé les vanteries ridicules dont il arrive assez ordinairement que la noblesse étourdit le monde. — (Jacques-Bénigne Bossuet, Gornay )
- Mépriser les richesses, les honneurs, la vie, la mort, le danger, les injures, la calomnie.
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï