malaria
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Angelë[Sepe]
Pandôo [Sepe]
malaria \mə.ˈlɛə.ɹɪə\ wala \mə.ˈlɛɹ.i.ə\
- (Kobêla) palü
Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed., 1995 → dîko mbëtï
Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
malaria \ma.la.ʁja\ linô gâlï
- (Ngbêne) ...
- La mère et la fille semblaient vivre de la même vie et dépérir du même mal. La maison a l’air d’une maison abandonnée ; on y respire un souffle de malaria. — (Anatole France, Vie littéraire, 1891)
- Des tourbillons de moustiques nous enveloppent, et nous respirons cette malaria spéciale qui donne la fièvre des bois. — (Pierre Loti, Un pèlerin d’Angkor, 1912)
- (Ngbêne) (Kobêla) palü; kobêla tî wâ
- La malaria s’était emparée de la région des marais Pontins. — (Gustave Bloch, La République romaine, Flammarion, 1913)
- Il recommandait à sa fille de prendre garde à la malaria car son oncle avait eu une vieillesse empoisonnée par cette maladie. — (Georges Simenon, « Le Blanc à lunettes », na 1937, VIII)
- Nous nous reposions, moi, mes guides et leurs mules, sur la route de Sciacca à Girgenti, dans une auberge du pauvre village de Monte-Allegro, dont les habitants, consumés par la malaria, grelottent au soleil. — (Anatole France, Le crime de Sylvestre Bonnard, Calmann-Lévy ; réédition Le Livre de Poche, 1967, page 47)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö, 2013, OIF/ELAN/Présence africaine
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed., 1995 → dîko mbëtï