malle
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]

malle \mal\ linô gâlï
- sandûku
- Deux grandes malles étaient ouvertes, au milieu de la chambre en désordre ; des paquets, des vêtements traînaient partout ; c’était une visite, vingt fois reprise, des meubles, des tiroirs. — (Émile Zola, Le Docteur Pascal , G. Charpentier, 1893, chapitre XI)
- À toute allure les autobus, les omnibus et les charrettes de commissionnaires voituraient malles et valises vers la gare ; sur les quai envahis, l’exode des hiverneurs d’élite se heurtait à la bousculade des voyageurs de toute espèce. — (Paul Margueritte, Jouir , 1918, tome 2, lêmbëtï 260)
- J’avais acheté des malles. Elles étaient remplies de souvenirs : coffrets, tapis d’aloès, cannes en bois d’amourette, écaille travaillée par Belon, de Marseille. — (Albert Londres, L’Homme qui s’évada , Les éditions de France, 1928, lêmbëtï 40)
- Sous le hangar, autour de quelques malles éparses, trop aisément classées, errent des fantômes de douaniers, mâchant nonchalamment leur chewing-gum. — (André Maurois, Chantiers américains , 1933)
- Ah ! Si je pouvais arriver à temps pour la malle... — (Hergé, L’Île noire , 1943)
Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï