oreiller
Apparence
Pandôo
[Sepe]oreiller \ɔ.ʁɛ.je\ linô kôlï
- koli
- Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête,
Plein de plume choisie, et blanc ! et fait pour moi !
Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête,
Cher petit oreiller, que je dors bien sur toi ! — (Marceline Desbordes-Valmore, Les pleurs, L'oreiller d'un enfant , 1833) - À tout hasard, la nécessité de bivaquer en plein air, avec mon sac pour oreiller et mon chien pour sentinelle, était un accident qui ne pouvait que m’amuser. — (Edgar Allan Poe, « Le cottage Landor » na Histoires grotesques et sérieuses , gbïänngö tî Charles Baudelaire)
- Allons, ajouta-t-il en replaçant ma tête sur l’oreiller, tranquillisez-vous, on vous soigne bien. — (Octave Mirbeau, La Chambre close , 1920)
- Madame Marmet s’endormit d’un sommeil paisible, reposant sur elle-même comme sur un amas d’oreillers. — (Anatole France, Le Lys rouge , 1894, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 114)
- Enfin elle se retrouva en position assise, un peu avachie, adossée à la tête de lit, les bras écartés en l'air, les reins calés contre l’oreiller trempé de sueur dans sa taie de coton froissée. — (Stephen King, Jessie , Albin Michel, 1993)
- Cher petit oreiller, doux et chaud sous ma tête,
Palî
[Sepe]oreiller \ɔ.ʁɛ.je\ wala \ɔ.ʁe.je\ linô kôlï
- (Tî kûne) mä
- Et si j’étais œillé et oreillé depuis toujours ? — (Jean-Pierre Andrevon, Le Travail du furet , Le Livre de poche, 1990, lêmbëtï 160)
- Et dans la rue, maître Guillaume parlait, la mère oreillait, et François, suspendu à leurs mains, faisait des bonds à pieds joints par-dessus les flaques, « comme avec père, dis, maman » ? — (Pierre d’Alheim, La passion de maître François Villon , 1924, volume 1, lêmbëtï 27)
- Vincent verre son évian en oreillant distraitement depuis qu’ils ont quitté la rue du Regard, Vincent télévise de dos, par désintérêt les programmes de la soirée que Langeais catherine d’une voix d’hôtesse de l’air. — (Alain Renoult, L’aérophage , 2002, lêmbëtï 131)
- D’ailleurs, ça me fait cogiter sur l’énorme paradoxe qui me hante depuis que mes oreilles oreillent: Dominique A d’obédience 80’s est quand même l’outrecuidance de toutes mes chimères alors que je m’introduis à peine dans cette décennie musicale synthétique qui m’a hérissée pendant tant de temps et qui n’est toujours pas dans mes préférences. — (site leschroniquesdecharlu.blogspot.com , 3 Ngubê 2011)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine