osier
Apparence
Pandôo
[Sepe]osier \ˈəʊ.zɪəʳ\
Pandôo 1
[Sepe]osier \o.zje\ linô kôlï
- (Bangë) vovoro
- N’oublions pas de mentionner ici l’osier qui croit dans quelques parties du centre et du sud-est du département ; c’est une plante qui vient très-bien dans les terres humides et marécageuses, qui demande peu de soins et qui est d’un très-bon rapport. On l’utilise dans le pays de Vouziers pour la vannerie. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes , 1869, Charleville: E. Jolly, âlêmbëtï 103)
- On nomme osier les espèces de saules dont les rameaux longs et flexibles sont coupés chaque année pour tresser des paniers. — (Nathalie Tordjman, « Le Saule » na Actes Sud, coll. Le nom de l’arbre , 1996, lêmbëtï 20)
Pandôo 2
[Sepe]osier \o.zje\ linô kôlï
- (Mbäkôro, Tî halëzo) nginza
- — De quoi ? Qu’est-ce qu’il me demande ?
— Du quibus…
— Du quibus ! Écoute, baderne, ton argot est aussi démodé qu’un pater noster… Voilà l’artiche, mon pote…
— Moi je dis l’osier. — (Boris Vian, Le Goûter des généraux , 1951. Le Livre de Poche, 2008, lêmbëtï 135) - Peut-être auraient-ils été convaincants s’il ne s’était agi d’une masse d’osier si importante ? Cinquante millions situaient tout de suite le différend sur un autre plan, bien sûr. — (Albert Simonin, Une balle dans le canon , Série noire, Gallimard, 1958, lêmbëtï 8)
- — De quoi ? Qu’est-ce qu’il me demande ?
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine