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pacification

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Yângâ tî Farânzi

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pacification \pa.si.fi.ka.sjɔ̃\ linô gâlï

  1. kokö
    • Les régimes appliqués d'un bout à l'autre de l'empire sont divers. L'Algérie, après une longue « pacification »-c'est à dire une guerre impitoyable pour briser toute résistance à l'occupation et chasser de leurs terres ceux qui y habitaient- est devenue une colonie de peuplement. — (François ReynaertNos ancêtres le Gaulois et autres fadaises , Le Livre de Poche-, 2012, ISBN 978-2-253-16282-7, Chap. La colonisation, lêmbëtï 554)
    • En 1957, il fallait une force de protection de 24 hommes pour 300 travailleurs, en 1960, 10 pour 500 000 travailleurs ce qui indique le degré de pacification obtenu. — (Bachaga BoualamLes Harkis au service de la France , France-Empire, 1963, lêmbëtï 32)
    • Puis, très volubile, il me donna un « digest » de la pensée politique des officiers de pacification : « Nous ne partirons pas », c'était le leitmotiv. — (Henri AllegLa Question , 1957)
    • Toutefois la pacification des villes ne va pas sans réactions parfois violentes et soudaines de fanatiques irréductibles. — (Michel DroitDe Lattre, maréchal de France , Pierre Horay, éditions de Flore, 1952, lêmbëtï 21)

Âlïndïpa

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