passiflore

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

Une passiflore de barbadine. (2)

passiflore \pa.si.flɔʁ\ linô gâlï

  1. (Sêndâsên) (Bangë) pasïön; Âmângbi tî pöpöködörö: Passiflora edulis (Passifloraceae)
    • Les grenadilles ailées, les passiflores aux larges fleurs de pourpre striées d’azur et couronnées d’une aigrette d’un violet noir, retombent du faîte de la voûte comme de colossales guirlandes. — (Eugène SueLes Mystères de Paris , 1843)
    • « Ah! mon Dieu! que c’est beau! et que l’homme se sent petit en face de ces merveilles de la nature, de ces géants qui datent des premiers âges du monde.! Entre ces troncs lisses ou couverts d’une mousse sombre se suspendent des milliers de plantes grimpantes, des lianes de toutes sortes, les passiflores laurifoliæ, les bignonies, les bromerias, les aristoloches, que sais-je accrochant leurs jeunes rameaux aux troncs noueux des vieux arbres. Les fleurs aux couleurs éclatantes tranchent sur le ton plus foncé de la verdure. Des fougères arborescentes, des lichens couvrent le sol. Une lumière diffuse et voilée filtre à travers l’épais rideau. On se croirait au crépuscule d’un beau jour. La chaleur n’est pas grande, mais l’air manque aux poumons. On respire avec peine.— (Charles WallutSur les rives de l'Amazone : voyage d'une femme, Marthe Verdier , 1882, âlêmbëtï 144-145)
    • Car je ne veux plus rien sinon laisser se clore
      Mes yeux couple lassé au verger pantelant
      Plein du râle pompeux des groseilliers sanglants
      Et de la sainte cruauté des passiflores
      — (Guillaume Apollinaire, « L’Ermite », « Alcools » na Œuvres poétiques , Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1965, lêmbëtï 103)

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