Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

patate \pa.tat\ linô gâlï

(Bangë) (Kugbëkâsa) bäboro
- Les feuilles de la patate douce se consomment comme des épinards, contrairement à celles de la pomme de terre qui sont toxiques.
(Mbumbuse, Sêkpängö) kûtugô
- On va encore manger des patates !
- Pendant que les Anglais avaient Winston Churchill, pour prendre un exemple au hasard, nous avons eu Friedrich Traugott Wahlen. Un homme dont la vision d’une Suisse dont tous les espaces verts seraient plantés de patates a beaucoup fait pour l’alimentation et le moral des populations entre 1940 et 1945. — (Le Temps , 4/02/2010 → dîko mbëtï)
- Plus terre à terre que lui, il fallait vraiment être un concombre ou une patate ! — (Marie Décary, Rendez-vous sur planète Terre , Éditions La courte échelle, 1998, lêmbëtï 46)
- Ne pas manger de viande n’était absolument pas dans les mœurs de l’époque. Ma famille vient de Pologne, un pays où la pomme de terre occupe une place énorme. Quand nous allions chez mes grands-parents, omnivores, nous ne mangions que des patates parce qu’ils ne savaient pas quoi nous cuisiner d’autre. — (Corentin Lacoste, « Végétarienne de naissance, je n’ai goûté de la viande qu’à 13 ans », Le Monde , 18 Föndo 2017 → dîko mbëtï)
(Mbumbuse) ngangü, sêngonzo, sêngangü
- Cette petite voiture de 100 ch, elle a de la patate !

Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine