permettre
Apparence
Palî
[Sepe]permettre \pɛʁ.mɛtʁ\
- zîa, zîa lêgë
- […] il n’est pas permis, excepté sur le théâtre, d'avoir l'air aussi pittoresque que vous, avec vos flanelles blanches, votre chemise mauve et votre cravate violet foncé ! Si j'étais votre grand-mère, je vous enverrais changer de costume. — (Florence Louisa Barclay, Le rosaire , gbïänngö tî E. de Saint-Segond, Éditions Payot, 1925, lêmbëtï 26)
- Il n’a fait que ce que la loi lui permettait.
- Les lois ne permettent pas l’exportation de telle denrée, ne permettent pas le port de certaines armes.
- Il n’est pas permis de se venger soi-même.
- Permettez que je m’absente.
- Vous me permettrez ou
- Permettez-moi de vous dire, de vous faire remarquer. Formule de politesse dont on fait usage en disant à quelqu’un une chose contraire au sentiment, à l’opinion qu’il vient de manifester.
- On dit aussi simplement, dans le même cas : Permettez. On adresse encore cette formule à une personne à laquelle on cause quelque dérangement.
- Lafcadio ne doit pas tarder à… Il a seulement été jusque chez le… Oh ! permettez !… — (André Gide, Les Caves du Vatican , 1914)
- S’il m’est permis de parler ainsi. – Se dit quand on se sert d’un mot, d’une manière de parler qui n’est pas usitée, qui peut surprendre et qu’on hasarde.
- yê
- Il faut bien permettre ce qu’on ne peut empêcher.
- La société permet certains désordres, afin d’en prévenir de plus grands.
- Dieu permet souvent que les méchants prospèrent.
- Dieu a permis que, L’ordre de la Providence, de la justice divine a voulu que.
- C’était une famille opulente, Dieu a permis qu’elle soit tombée tout d’un coup dans la misère.
- Dieu permit qu’après tous ces crimes il tombât enfin entre les mains de la justice.
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï