Des pions aux échecs (1).Pions sur l’encolure d’un cheval (3).Les pions de positionnement (vert et bleu) permettant de positionner les deux parties du corps de la pompe l'une par rapport à l'autre (4).
Les batailles ne pouvaient donc plus être assimilées à des jeux d’échec dans lesquels l’homme est comparable à un pion ; elles devenaient des accumulations d’exploits héroïques. — (Georges Sorel, Réflexions sur la violence , 1908, chapitre VII La morale des producteurs, lêmbëtï 349)