pleurer
Apparence
Palî
[Sepe]pleurer \plø.ʁe\ wala \plœ.ʁe\ linô kôlï
- toto
- […] des hommes mûrs pleuraient à la vue du drapeau étoilé soutenu par tout le corps de ballet noyé sous les clartés des projecteurs. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 213)
- Elle avait dû, jadis, pleurer deux fois chaque chagrin, car ses prunelles aussi étaient rouillées. — (Jean Giraudoux, Provinciales , Grasset, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 24)
- Elle mit un instant à recouvrer son souffle. Non ! Elle ne pleurerait pas devant lui. — (« Zaheira » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- Elle pleurait simplement, sans aucun sanglot, mais n’en paraissait que plus pitoyable. — (Pierre Louÿs, Trois filles de leur mère , Paris, 1926, chapitre 4)
- Autant pour moi monsieur le directeur, autant pour moi. Si ça continue, c’est moi qui vais finir par pleurer ! Mais rassurez-vous, juste des larmes d’expert-comptable, monsieur le directeur. — (Emmanuelle Ménard, Deux jours comme l’hiver , L’Harmattan, 2012, lêmbëtï 41)
Pandôo
[Sepe]pleurer \plø.ʁe\ wala \plœ.ʁe\ linô kôlï
- tötöngö-terê
- C’était un pleurer silencieux et résigné qui ne cherchait ni à se contenir ni à se montrer.— (George Sand, Jeanne , 1844)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï