pleuvoir
Apparence
Palî
[Sepe]pleuvoir \plø.vwaʁ\
- nï (ngû anï)
- Maintenant il pleut… J’entends l’eau qui ruisselle des gouttières, et qui fouette les vitres de ma chambre… — (« La tête coupée » na Octave Mirbeau, Lettres de ma chaumière , 1886)
- Dis donc, Monsieur, ça pleut dehors… Est-ce que je peux t’y prendre le parapluie ? — (Georges Feydeau, Les Pavés de l’ours , 1896)
- 8 m a r s. — Il a plu sans interruption depuis près de vingt heures, et le terrain où nous campons est complètement détrempé. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 138)
- Il pleuvait. Par instants, on entendait l’averse s’écraser contre la verrière du haut, […]. — (Francis Carco, L’Homme de minuit , 1938)
- Il faisait froid et pleuvait. Rattner et moi, empaquetés dans nos pardessus, nous l’invitions à remuer. — (« L’ancien combattant alcoolique au crâne en planche à lessive » na Henry Miller, Max et les Phagocytes , gbïänngö tî Jean-Claude Lefaure, éditions du Chêne, 1947)
- Il avait plu toute cette semaine-là, et la vieille boue des hivers, pétrie par les sabots des vaches, des chevaux et des gens, grasse de bouse et claire comme de la pâte à gaufres s'était ramollie. — (Jean Rogissart, Mervale , 1937, Paris: Éditions Denoël, âlêmbëtï 16)
- (Könöngö) tï
- Ce vacarme académique, qui dura tout le mois d’août 1836, était pour le moins aussi amusant que celui des étoiles filantes qui s’abattaient tous les huit jours sur le Pont-Royal, et que celui des crapauds qui pleuvaient tous les huit jours à l’Académie. — (François-Vincent Raspail, Nouveau système de chimie organique , 1838, lêmbëtï 598)
- On en a conclu qu’il pleuvait des crapauds, ce qui est une impossibilité, attendu que, d’après les lois invariables de la nature, ces animaux, à cause de leur forme et de leur poids, ne peuvent se trouver dans l’air. — (J. Lingay, Erreurs et préjugés , 1853, lêmbëtï 57)
- J’examinai alors attentivement ces taches, j’étudiai leur développement, et je reconnus... qu’il pleuvait du sang !... Oui ! il pleuvait du sang !... Je levai la tête et […] je vis se balancer les silhouettes mutilées de plusieurs pendus ; […]; et c’était du cou de ces dernières victimes pendues par les pieds que tombait cette pluie de sang ! — (Félix Maynard, De Delhi a Cawnpore, journal d'une dame anglaise , 1858, lêmbëtï 97)
- Non, non, vos fautes apportent avec elles leur châtiment immédiat, c’est sur votre dos que pleuvront les coups, c’est vous-mêmes qui serez punis. — (« La révolution et les révolutionnaires de Février » na Revue des Deux Mondes , 1850, tome 7, lêmbëtï 539)
- Les Boches préparaient un « sale » coup, et Luc, de quart au périscope, avait donné l’alerte à sa tranchée. Presque aussitôt le bacchanal se déchaîne : les obus pleuvent, les parapets sautent. — (Charles Le Goffic, Bourguignottes et pompons rouges , 1916, lêmbëtï 155)
- En 1945, elle avait sept ans. Un matin, les bombes avaient commencé à pleuvoir. A Kobé, ce n'était pas la première fois qu’on les entendait, loin s’en fallait. — (Amélie Nothomb, Métaphysique des tubes , 2000)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï