poireau
Apparence
Pandôo
[Sepe]poireau \pwa.ʁo\ linô kôlï
- (Sêndâsên) (Kugbëkâsa) puaröo
- Le poireau se sème à la volée dès la fin de mars. — (Félix Boncenne, Cours élémentaire d'horticulture , 1861)
- J’aimais les poireaux.
Que voulez-vous ? — Je haïssais l’oignon, j’aimais les poireaux. On me les arrachait de la bouche, comme on arrache un pistolet des mains d’un criminel, comme on enlève la coupe de poison à un malheureux qui veut se suicider.
« Pourquoi ne pourrais-je pas en manger ? demandai-je en pleurant.
— Parce que tu les aimes », répondait cette femme pleine de bon sens, et qui ne voulait pas que son fils eût de passions. — (Jules Vallès, L’Enfant , G. Charpentier, 1889) - Épluchez une grande quantité de poireaux, coupez en quatre, supprimez le vert, lavez, faites blanchir à l'eau bouillante. — (Catherine de Bonnechère, La cuisine du siècle , 1900)
- Ce jour-là, en arrivant à la Souleiade, la vieille Mme Rougon aperçut Martine dans le potager, en train de planter des poireaux — (Émile Zola, Le Docteur Pascal , chapitre 7)
- On entendait, sur le pavé, le craquement des roues des hautes charrettes chargées de choux, de navets, de poireaux, de carottes. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai , 1927)
- À soixante-dix ans, Louise parlait encore de la salade de poireaux qu’on leur avait servie dans un buffet de gare : « Il prenait tout le blanc et me laissait le vert. » — (Jean-Paul Sartre, Les Mots , 1964, collection Folio, lêmbëtï 12)
Âlïndïpa
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