pourboire
Apparence
Pandôo
[Sepe]pourboire \puʁ.bwaʁ\ linô kôlï

- gôro
- Croyez-vous, s’écrie-t-il, croyez-vous qu’il m’a demandé un pourboire, cet ivrogne de moujik ! — (Jules Verne, Claudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 4)
- — Ça fait juste le compte : trente centimes pour l’éclairage… quatre francs vingt et trente quatre francs cinquante… et cinquante centimes pour les deux bicyclettes… Vous ne laissez pas un petit pourboire ?…
— Mais… je n’ai pas vu de bonne… vous êtes bien la patronne ?
— Oui ! Faut vous dire, ma bonne est à la noce d’un de ses cousins ; mais elle rentrera demain… ça lui aurait sûrement fait plaisir… — (Jules Romains, Les Copains , 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 89) - Fernand « sortit son fric », laissa vingt sous de pourboire puis, ayant bu, il se dressa et dit : […]. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- La suggestion fut retenue par mes parents. Bien que sur le principe ils fussent opposés au pourboire (Pasteur avait-il eu besoin d’un pourboire pour inventer le vaccin contre la rage ?), ils connaissaient trop bien la nature humaine pour savoir que, parfois, une pièce de monnaie encourage la solidarité. — (Jean L’Hôte, La Communale , Seuil, 1957, réédition J’ai Lu, lêmbëtï 170)
- Les Américains se ruèrent à terre, sans un regard pour notre guide, dont le couvre-chef négligemment tendu laissait entendre qu'il ne dédaignerait pas un pourboire. — (Antoine Bello, Les Producteurs , 2015 ; édition Blanche, 2015, lêmbëtï 285)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine