précepte
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
précepte \pʁe.sɛpt\ linô kôlï
- ndïä
- Le maître de danse lui fit observer, avec toute la politesse possible, qu'on devait dire le coude-pied, parce que , disait-il , en joignant l'exemple au précepte, le pied fait le coude en cet endroit. — (Alexandre Boniface, Manuel des amateurs de la langue française , 1Modèle:re année, 1813, Paris : chez l'auteur, chez Pillet, chez Le Normant, chez Périsse & Compère, chez Alex. Johanneau, de l'Imprimerie Pillet, 1814, lêmbëtï 151)
- Le gracieuse négligence, la hardiesse naïve de la Fontaine furent inappréciées par le grand roi ; mais le froid et correct Boileau donna à la poésie des préceptes tels que Louis les auraient donnés lui-même — (Théophile Lavallée, Histoire des Français depuis le temps des Gaulois jusqu'en 1830, Paris, Charpentier, 1858, 20e éd., t.3, chap.4, p.283 )
- « Ils sont partis par-là.
— Selon les préceptes du commodore Holmes : « Si un criminel part dans une direction, cherchez-le dans la direction opposée. » » — (Les Nouvelles Aventures de Lucky Luke , 2001, épisode 3)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine