prodige

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

prodige \pʁɔ.diʒ\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. kpêne
    • Je n'aime pas le surnaturel, dit Zadig ; les gens et les livres à prodiges m'ont toujours déplu. — (Voltaire, « Zadig ou la Destinée » na XX. La danse , 1748)
    • Vous avez entendu parler des prodiges qui se sont passés en l'église de cette paroisse, pendant le saint Sacrifice de la messe, […]. — (Les hosties sanglantes de Vrigne-aux-Bois (Ardennes): trois lettres de M. l'Abbé Jules Morel , Paris & Tournai : chez H. Casterman, s.d. (peu après 1859), lêmbëtï 5)
    • Basile de Séleucie a consacré un autre livre à nous raconter les prodiges de tout genre qui s'accomplissent sur la tombe de la protomartyre et ne contribuent pas peu à y attirer tant de pèlerins. — (Les martyrs: recueil de pièces sur les martyrs depuis les origines du christianisme jusqu'au XXe siècle , traduites et publiées par le R.P. dom H. Leclercq, tome 1, Paris : chez H. Oudin, 1903, lêmbëtï 154)
    • Elle marchait, ballotée comme un bateau par la tempête, mais elle marchait, seule, sans béquilles et sans aide. Un prodige de volonté avait réveillé ses jambes mortes. — (Stefan ZweigLa pitié dangereuse , Grasset, Paris, 1939, traduction Alzir Hella (2002), lêmbëtï 337)

Âlïndïpa[Sepe]