province

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

province \pʁɔ.vɛ̃s\ linô gâlï

  1. kêtê ködörö
    • C'est surtout la Turquie d'Asie qui fournit les meilleures laines, et principalement la province de l'Irak. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1ère partie : Fibres animales & minérales , Encyclopédie Roret, 1914)
    • C'est à ces sentiments nettement latins et fédéralistes tout ensemble de l’École de Marseille qu'il faut rattacher la manifestation à laquelle se livrèrent quelques Félibres, qui, par une déclaration solennelle, publiée le 22 février 1892, se déclaraient partisans de l’autonomie et de la fédération des provinces françaises ; […]. — (Émile Ripert, Le Félibrige , Armand Collin, 1924, lêmbëtï 142)
    • Toulon, en réalité, n'appartient, en propre, à aucune de nos provinces, c'est le Brest de la Méditerranée, à moins que Brest ne soit le Toulon de l'Océan. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • La faiblesse du califat permit aux gouverneurs de provinces et autres satrapes d'usurper le pouvoir et de fonder ainsi, à leur gré, des dynasties de courte ou de longue durée. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État , 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992)
    • Un de ses tenants est le néo-royaliste Charles Maurras (1868-1952) qui revendique le retour aux provinces d'Ancien Régime dont nous savons qu'elles n'existaient pas. — (Jocelyne Georges, « Paris-province : un mouvement du capital » na Province-Paris : Topographies littéraires du XIXe siècle , 2000, lêmbëtï 23)

Âlïndïpa[Sepe]