Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Palî [Sepe]

sécher \se.ʃe\

hôle, hûle
- […] on vient d’inaugurer un séchoir artificiel : c’est un four à chaleur modérée, où l’on dispose les poissons sur des lattes ; au bout de trois jours ils sont séchés à point. — (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla , E. Plon & Cie, Paris, 1883, lêmbëtï 32)
- Les deux moines qui entraient en charge pour leur semaine de service commençaient par l’abbé : le plus ancien (selon le rang monastique) lavait les pieds et le plus jeune les séchait. — (Terryl Nancy Kinder, L’Europe cistercienne , Zodiaque, 1998, lêmbëtï 135)
- Elle se soumit avec un abandon lascif aux mains expertes des deux jeunes femmes qui la lavèrent, la séchèrent et lui brossèrent les cheveux […] — (Isabelle Loredan, Les Noces de la Saint-Jean , Harlequin, 2013)
- En octobre 1854, la boulangère de Méobecq qui, comme c'était l'usage, avait fait sécher du chanvre dans son four avant de le broyer et de le filer, met le feu à la boulangerie : […]. — (Daniel Bernard, Berry d'antan : Scènes de la vie quotidienne , éd. Royer : chroniques d’antan, 2015, § 1-4)
(Mbumbuse) fâa
- L’oncle Jules m’annonça, avec une fierté joviale, qu’il l’avait « séché sur place » avec une charge de chevrotines dans la nuque. — (Marcel Pagnol, Le temps des secrets , 1960, Le Livre de Poche, lêmbëtï 115)

Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï