serment

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

Le Serment des Horaces

serment \sɛʁ.mɑ̃\ linô kôlï

  1. dëbä, dëngö-bä
    • Les faux serments que la justice autorise en France, ne doivent-ils pas être à jamais proscrits ? — (Comte de SanoisQuestions proposées à toutes les assemblées, par un membre de la noblesse de celle de Meaux , 13 Mbängü 1789)
    • Suivant le caractère des barbares, dont la fougue est violente, mais de peu de durée, ils se réconcilièrent en faisant de nouveau le serment de ne rien entreprendre l’un contre l’autre. — (Augustin Thierry, « Récits des temps mérovingiens » na 1er récit : Les quatre fils de Chlother Ier — Leur caractère — Leurs mariages — Histoire de Galeswinthe (561-568) , 1833–1837)
    • Tout homme qui obtient ce qu'il désire, ou qui va l'obtenir, veut la durée : rien de plus naturel que les serments prodigués par les amoureux. Le bonheur spontané veut la durée. Mais de la durée vient l’ennui : c'est pourquoi beaucoup les confondent. — (Denis de RougemontComme toi-même : Essais sur les Mythes de l'Amour , Albin Michel, 1961, lêmbëtï 147)
    • […] ; il étoit destiné, quand la révolution arriva, à occuper une des premières chaires dans l'université de Reims. Son refus de serment l'obligea de s'expatrier ; […]. — (L'Ami de la religion et du roi : journal ecclésiastique, politique et littéraire , n° 964, 5 Nabändüru 1823, lêmbëtï 397)
    • Il y a l'abbé Fortier, ce monarchiste rigide, qui bien certainement ne voudra pas se transformer en prêtre constitutionnel, et qui préférera la persécution au serment. — (Alexandre DumasLa Comtesse de Charny , avant-propos, 1853)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï