sevrer
Apparence
Palî
[Sepe]sevrer \sə.vʁe\
- (Sêndâbambî) gbânzi me
- Sa mère, qui avait eu l’intention de le sevrer à un an, continua de le nourrir, sur le conseil de Madge, et le lait maternel, mêlé, quelquefois de lait de renne, lui rendit promptement ses forces.
- Une année, deux années s’écoulèrent. Le fils d’Elhamy fut sevré, grandit ; il babillait gentiment sous la garde de sa nourrice.
- Pour faire cesser ce chagrin, son père adoptif lui donnait un biscuit trempé dans du péquet, le genièvre local. Comme l'enfant fut sevré avec un hareng saur, il vécut toute son existence tenaillé par une soif inextinguible, dont l'étanchement explique un appendice nasal proéminent et rubicond.