siffler

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Palî [Sepe]

siffler \si.fle\

  1. hûru yângâ, tö pindo, ya
    • Le roulier lui mit du foin sur le corps, et, pour ne pas s'endormir lui-même, il se prit à siffler à satiété une phrase de chanson lente et monotone ; […]. Cette sifflerie m'impatientait. — (George Sand, « Nanon », chap 15, dans la série des Œuvres complètesParis : chez Michel Lévy frères & à la Librairie nouvelle, 1872, page 189 )
    • D'où mon irritation contre ceux qui pratiquent le « ne pas se gêner », soit en fumant malgré l'affiche qui l'interdit, […], soit (ceci pour les Américains) en sifflant à tue-tête, sans se soucier un seul instant de ce qu'ils imposent leur sifflerie à une assemblée qui ne la leur demande point. — (Julien BendaMémoires d'infra-tombe , collection La Nef/éd. René Julliard, 1952, lêmbëtï 34)
    • Soudain, un bruit suraigu résonna dans le pub de Jersey : Isabelle, debout sur une table basse, sifflait en agitant les bras sous les regards interrogateurs des autochtones.
      • Quand j’atteignais un rat d’un bon coup de fouet, le ronge-maille sifflait avec fureur, hérissait tous ses poils et s’élançait avec désespoir contre le fouet lui-même, instrument de sa torture […] — (« Varia » na Anonyme, Revue moderne , vol. 41, 1867, lêmbëtï 668)
      • Les ronflements des deux braves épuisés couvrirent une fois encore le cri de l'alouette qui turlute, […], de la gelinotte qui glousse, de la marmotte qui siffle, et bien d'autres bruissements d'animaux qu'il serait une fois encore trop long d'énumérer ici... — (Anne Pouget, Quelle épique époque opaque , Éditions Casterman Jeunesse, 2013, chap. 3)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï