signe

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

signe \siɲ\ linô kôlï

  1. /fâa
    • C’est mauvais signe, prédit la vieille Griotte à la grande Phémie. L’autre se signa gravement. — (Louis Pergaud, « Le Retour » na Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
    • Que le nombre important de naissances illégitimes soit une marque d’immoralité, je le veux bien ; encore est-il qu’il faut faire des distinctions et examiner si ce n’est pas plutôt un signe d’irrégularité que d’immoralité. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • Le commissaire Massart […] se rongeait les ongles et c'était le seul signe de nervosité que ce fonctionnaire eût jamais donné ; […]. — (Paul NizanLa Conspiration , 1938, lêmbëtï 209)
    • Les collaborateurs de La Gazette médicale ont beau jeu d’ironiser sur les signes qui désignent aussitôt ces choléraphobiques : […]. — (Ange-Pierre LecaEt le choléra s'abattit sur Paris - 1832 , Albin Michel, 1982, lêmbëtï 93)
    • Sa cravate montrait des signes d’usure et il s’habillait en drap recardé que la première pluie décatissait. — (Roger FerletDe la soie dans les veines , Paris & Genève : Éditions Jeheber, 1958, chap 14)
    • Quand les hirondelles volent bas, on croit que c’est signe de pluie, que c’est signe qu’il pleuvra.
    • Il n’y a dans l’état de ce malade aucun signe d’amélioration.
    • Il ne donne plus aucun signe de vie.
    • (Zäzämä) Il ne nous a donné aucun signe de vie, il n’a pas donné le moindre signe de vie, il n’a pas donné signe de vie : Se dit d’un homme absent qui n’écrit point, qui n’a donné aucune marque de son souvenir.
  2. pëli
    • L’utilisation d’un signe correspondant à une marque, comme mot clé, pour créer et afficher des liens promotionnels vers des sites tiers susceptibles d’être contrefaisants, constitue-t-il un usage susceptible d’être interdit par le droit des marques ? — (Virginie Brunt & Alain Bensoussan, « Référencement payant : pas de haro sur les moteurs de recherche » na L’Usine nouvelle n°3188 , 15 Ngubê 2010)
    • Certains autres comportent plusieurs lectures kun, car les japonais firent correspondre à un seul signe plusieurs mots japonais différents, chacun représentant un aspect de ses virtualités sémantiques. — (Reïko Shimamori, Grammaire japonaise systématique , Paris, Jean Maisonneuve, Mbängü 2000, 2e édition, page xii)
    • Les mots sont les signes de nos idées.
    • Les signes astronomiques, algébriques, de ponctuation, de la musique.
  3. (Nzapä) ndimä
    • Les pharisiens demandaient des signes à Jésus-Christ.

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï