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sottise

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Yângâ tî Farânzi

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Pandôo

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sottise \sɔ.tiz\ linô gâlï

  1. bübä
    • L'homme a inventé les dieux et il a créé l’amour avec son cortège de sensibleries ridicules ou criminelles. L’amour a donné naissance au poète, puis au psychologue et, pour couronner l’humaine sottise, à cet enfonceur de portes ouvertes qui s’est baptisé psychanalyste — le paladin du refoulement et l’écuyer servant la Haute Dame Libido. — (Victor MéricLes Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930, lêmbëtï 118)
    • Un des aspects courants de la sottise humaine est cette croyance, que l'on découvre chez tant d'honnêtes imprévoyants, que tout durera, à peu de chose près, comme nous voyons les institutions et les choses aujourd'hui. — (Louis ThomasArthur de Gobineau, inventeur du racisme (1816-1882) , Paris : Mercure de France, 1941, lêmbëtï 123)
    • D’ailleurs, la sottise ajoute un charme de plus à une jolie femme. Je connaissais, en effet, de nombreux maris qui étaient extrêmement satisfaits de la sottise de leur épouse : ils y voyaient l’indice d’une sorte d’innocence enfantine. — (Nicolas GogolLa Perspective Nevsky , gbïänngö tî Boris de Schlœzer, 1968, 1835, lêmbëtï 114)
  2. zonga
    • En entendant ces farouches sottises de l’Envie, qui s’élance, baveuse et hargneuse, jusque sur le passé, bien des jeunes filles eussent senti leur sang les rougir jusqu’au front ; […]. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)

Âlïndïpa

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