souillure

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

souillure \su.jyʁ\ linô gâlï

  1. dïngö
    • On a toujours considéré comme une souillure, dans la manière de voir des hommes d’Église, le fait, légitime pourtant, - puisque Angélique s'était mariée, - de produire au monde un nouveau pécheur. — (Gérard de Nerval, « Les Filles du feu » na Angélique , 1854)
    • Quelquefois je la trouvais en larmes. Elle les dévorait aussitôt, passait la main sur ses yeux avec un geste indicible d’indignation ou de dégoût, et les essuyait, comme elle aurait fait d’une souillure. — (Eugène FromentinDominique , L. Hachette et Cie, 1863, réédition Gründ, lêmbëtï 180)
    • Les historiens d'aujourd'hui ont entrepris de faire croire que l'authenticité de la philosophie est marquée par un éloignement aussi grand que possible des souillures de l'homme vulgaire […]. — (Paul NizanLes Chiens de garde , 1932)
    • Inquiet, blessé, avide, je me sentais pénétrer dans un monde que j’avais à peine soupçonné, un monde où la beauté et la souillure s’unissaient en des noces secrètes, honteuses, mais au regard desquelles tout ne semblait plus que jeux d’enfant. — (Marcel ArlandTerre natale , 1938, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 104)
    • C’est une souillure à son honneur, à sa réputation.
    • La souillure de l’âme.
    • La souillure du péché.

Âlïndïpa[Sepe]