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sueur

Alöndö na Wiktionary

Yângâ tî Farânzi

[Sepe]

Pandôo

[Sepe]
Sueur après un effort sportif

sueur \sɥœʁ\ linô gâlï

  1. (Sêndâ-saterê) gbikï
    • Une sueur légère, mais que chacun vit et supposa froide, rendit son front humide. — (Honoré de BalzacModeste Mignon , 1844 ; 1855, édition Houssiaux)
    • Philippe, en se baissant pour mieux voir, aperçut le mouchoir encore humide de la sueur froide qui avait ruisselé du front de Louis XIV. Cette sueur épouvanta Philippe comme le sang d’Abel épouvanta Caïn. — (Alexandre DumasLe Vicomte de Bragelonne , 1847, chapitre 226 : Le matin)
    • Il y avait deux longues heures que nous marchions, dans les champs, sous le soleil qui tombait du ciel comme une pluie de feu ; la sueur ruisselait sur mon corps et la soif, une soif ardente, me dévorait. — (« Le Père Nicolas » na Octave MirbeauLettres de ma chaumière , 1885)
    • Et, songeant qu’elle allait mourir, elle se désola. Une sueur d’agonie lui monta aux tempes. — (Anatole FranceL’Étui de nacre , 1892, réédition Calmann-Lévy, 1923, lêmbëtï 223)
    • Le professeur en est si ému qu’il s’essuie les yeux…
      — Ce sont des pleurs de joie, lui chuchote Marie.
      — Non. Ce sont des gouttes de sueur
      — (Germaine AcremantCes dames aux chapeaux verts , Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 290)
    • Ruisselant de sueur, Jimmy tourna la clef dans la serrure, ouvrit la porte, fit entrer Jim et la referma derrière lui. — (Francis CarcoL’Homme de minuit , 1938)
    • Être poète, c’est trouver parfumée la sueur de la femme qu’on aime. — (Henri VincenotLe Pape des escargots , 1972, lêmbëtï 299)

Âlïndïpa

[Sepe]
  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï