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taciturne

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Yângâ tî Farânzi

[Sepe]

Pasûndâ

[Sepe]

taciturne \ta.si.tyʁn\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. kpô
    • Elle ne comprenait rien au caractère de son mari ; mais, de doux et bienveillant qu’elle l’avait toujours connu, il était devenu défiant et taciturne. — (Alexandre DumasOthon l’archer , 1839)
    • Le vieux matelot, assez taciturne de sa nature, la barre engagée sous le bras, se tenait silencieux à l’arrière de l’embarcation. — (Jules VerneLe Pays des fourrures , Paris: J. Hetzel et Cie, 1873)
    • […] ; lorsque le hasard les forçait de se trouver ensemble, il devenait taciturne, maussade, ne répondait qu’avec difficulté aux questions qu’elle lui adressait et avec cette maladresse habituelle aux amoureux peu aguerris, il saisissait le premier prétexte venu pour la quitter. — (Gustave AimardLes Trappeurs de l’Arkansas , 1858)
    • Le fils aîné de Mariette est à la guerre. Avec elle est restée sa bru, la frêle, taciturne et héroïque Anne-Marie, […]. — (Léon TrotskiLe Drame du prolétariat français , 1922, annexe à l’édition de 1964 de Littérature et Révolution (les Lettres Nouvelles, éditeur))
    • « Sylphide, taciturne sont des mots rares pour ton âge. Tu aurais pu dire des femmes à la taille fine, tout le monde aurait compris. Quant à taciturne comme un Breton, je crois que tu exagères un peu. Bien sûr, les Bretons ne sont pas exubérants comme les Marseillais, mais de là à dire qu’ils sont taciturnes, je ne le crois pas. Je suis breton et j’aime la gaieté. D’où tiens-tu cela ? » — (Édouard BledJ’avais un an en 1900 , Fayard, 1987, Le Livre de Poche, lêmbëtï 71)

Âlïndïpa

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