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tancer

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Yângâ tî Farânzi

[Sepe]

Palî

[Sepe]

tancer \tɑ̃.se\ palî tî mbenze

  1. (Sêndâsû) sûku
    • Sa colère fut grande et il tança vertement son fils. — (Prosper Mérimée- )
    • Elle me tança beaucoup de m’être laissée aller au sommeil sur les pierres jomâtres, qui sont un mauvais endroit, et elle m’enseigna ce que je devais faire pour me sauver des mauvais esprits qui avaient agi avec moi comme s’ils croyaient m’avoir achetée.— (George SandJeanne , 1844)
    • Quoi ! on les tance, on les emprisonne, on les vexe, et on les déclare innocents. — (Alexandre DumasJoseph Balsamo , 1846)
    • C’est ainsi qu’on vêtait et qu’on vêt encore, je crois, les écoliers pauvres ou orphelins de la ville de Londres, et c’est sous cet aspect saugrenu qu’ils apparaissaient à William Blake, lorsque, chantant à Saint-Paul, ils excitaient en lui l’amour et la pitié, et lui faisaient tancer l’Angleterre. — (Julien Green, « Charles Lamb » na Suite anglaise , 1927, Le Livre de Poche, lêmbëtï 51)
    • De ce père indigne, de ce bimbelotier, de ce marchand de primeurs si souvent failli la F.M. a fait un haut fonctionnaire, le magistrat sévère qui tance les débiteurs insolvables et qui règle les banqueroutes. — (Marcel JouhandeauChaminadour , Gallimard, 1941 et 1953, Le Livre de Poche, lêmbëtï 107)
    • Cette semaine, les deux jeunes libérales se sont vite fait tancer. D’abord par leur consœur, ministre responsable des Langues officielles, Mélanie Joly, qui a réagi en utilisant trois adjectifs, « stupéfaite », « abasourdie » et « déçue ». C’est sa manière de servir son chef, le prince des mea culpa. — (Denise Bombardier, « Merci, Emmanuella et Chelsea » na Le Journal de Québec , 20 Nabändüru 2020)

Âlïndïpa

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