très

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Mbasêlî [Sepe]

très \tʁɛ\ wala \tʁe\

  1. sïönî, mîngi
    • Lorsque dans une armée le besoin de récompenses se fait très vivement sentir, on peut affirmer que sa valeur est en baisse. — (Georges SorelRéflexions sur la violence , Chap. VII - La Morale des producteurs, 1908, lêmbëtï 359)
    • Il avait été entendu entre maman et moi que si j’étais heureuse je lui écrirais : « Ici je suis très heureuse », en soulignant « très ». Et seulement « Je suis heureuse » si je ne l’étais pas. — (Nathalie SarrauteEnfance , Gallimard, 1983, collection Folio, lêmbëtï 114)
    • Les aliments détaillés en menus morceaux sont sautés très rapidement avec très peu de matière grasse dans un récipient hémisphérique placé sur un brûleur très puissant. — (Michel Maincent-Morel, Techno Culinaire — Bac Pro , Éditions BPI , 2011, lêmbëtï 270)
    • À quoi servent les faits divers ? […] En règle générale, à faire du très mauvais journalisme, caressant le lecteur dans ses pulsions malsaines quitte à pulvériser les lignes jaunes du métier […]. — (Nicolas Demorand, « Trouble » na Libération , n°9535, 7 & 8 janvier 2012, lêmbëtï 3)
    • L’affaire sera jugée sur le fond le 31 mai, mais, en attendant, ces déboires juridiques vont augmenter la facture de la grève pour les agents dès la fin de ce mois et, sans doute, faire basculer une part des très-grévistes vers le camp des non-grévistes ou des peu-grévistes. — (Éric Béziat, « SNCF : la grève faiblit, le malaise cheminot grandit » na Le Monde , 19 Mbängü 2018 → dîko mbëtï)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï