Aller au contenu

trembler

Alöndö na Wiktionary

Yângâ tî Farânzi

[Sepe]

Palî

[Sepe]

trembler \tʁɑ̃.ble\

    • On ne voyait pas les tramways. […]. Pourtant les quais où ils roulaient, avec des piaulements plaintifs, n’étaient guère éloignés, car la rue, quelquefois, tremblait à leur passage […]. — (Francis CarcoBrumes , Paris: Éditions Albin Michel, 1935, âlêmbëtï 41)
    • Lorsque Bishop revint et posa un gobelet fumant devant elle, Anise referma les mains dessus pour se réchauffer ; il faisait trente-cinq degrés à l'ombre, et pourtant elle tremblait de froid. — (Kay David, L'ombre du doute , gbïänngö tî B. Dufy, en recueil avec La machination de Harper Allen, éd. Harlequin (coll. Black Rose), 2009, chap. 12)
    • Les feuilles des arbres tremblent au moindre vent.
    • Trembler depuis les pieds jusqu’à la tête, de tous ses membres.
    • Le passage de ces lourds camions fait trembler toute la maison.
    • Tout tremblait au son de sa voix, les vitres, les meubles et les gens. — (Victor HugoLes Misérables , 1862, II, 3, 2)
    • (Sêkpängö)Sa voix tremblait.
  1. (Zäzämä) sâra mbeto
    • Et les paysans, ces grands flandrins qui tremblaient quelques mois auparavant comme des lièvres, lorsqu’on les regardait de travers… eh bien, je les ai vus traiter d’un air d’arrogance de vieux soldats, […]. — (Erckmann-ChatrianHistoire d’un conscrit de 1813 , J. Hetzel, 1864)
    • Les républicains triomphants ne déshonorèrent pas leur triomphe : ils veillèrent eux-mêmes à la sûreté de la bourgeoisie, qui tremblait pour sa vie et pour ses biens. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises , 1879)
    • En lui-même, il souhaitait que Feempje déguerpît, car les colères brusques du Hollandais le faisait trembler pour ses vitres. — (Francis CarcoBrumes , Paris: Éditions Albin Michel, 1935, âlêmbëtï 39)
    • Rainie adorait ces montagnes. […]. Elle pensait que la nature se devait d'être grandiose, une présence suffisamment majestueuse pour faire trembler dans leurs bottes les simples mortels. — (Lisa GardnerDisparue , gbïänngö tî Cécile Deniard, Éditions Albin Michel, 2008, chap. 10)