trop tard
Apparence
Penzelö tî mbasêlî
[Sepe]trop tard \sêndagô ?\
- na pekô
- On l’a soigné trop tard. — Le secours arriva trop tard de quelques jours.
- Trop tard, trop tard… C’est le mot des négligents, des enfants et des ingrats. Non que je me sente plus coupable qu’une autre « enfant », au contraire. Mais n’aurais-je pas dû forcer, quand il était vivant, sa dignité goguenarde, sa frivolité de commande ? Ne valions-nous pas, lui et moi, l’effort réciproque de nous mieux connaître ? — (Colette, Sido , 1930, Fayard, âlêmbëtï 59-60)
- Dans son cerveau, dans ses membres immobiles, passe comme une velléité d'entreprendre ; c'est comme un désir de voir du nouveau, d'aller vers des gens inconnus, meilleurs, qui existent peut-être quelque part. Mais, en même temps, – sans regret et même avec un certain soulagement, – il se sent incapable d'effort. Trop tard. Tout est trop tard. Et c'est presque tant mieux. — (Roger Martin du Gard, Vieille France , 1933, réédition Le Livre de Poche, âlêmbëtï 145-146)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï