tu
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:
Yângâ tî Bambara[Sepe]
Pandôo [Sepe]
tu \sêndagô ?\
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Polïpa zo [Sepe]
tu \t̪y\
- mo
- Luke, tu es mon fils.
- Ô Roméo, Roméo, pourquoi es-tu Roméo ? — (William Shakespeare, Roméo et Juliette)
- Où t’en vas-tu pensée où t’en vas-tu rebelle. — (Louis Aragon, -)
- Tu ne m’as pas répondu, l’autre jour.
- Tu es heureux.
- Tu m’as parlé de cette affaire.
- Tu t’en repentiras.
- Tu en auras des nouvelles.
- Tu y étais.
- Tu ne le verras plus.
- Son « tu » me froissa un peu. Mais je lui répondis gaminement : « Tu trouves que j’ai engraissé ! » Il partit d’un fou rire. Et, à partir de ce jour, nous nous tutoyâmes et nous devînmes les meilleurs amis du monde. — (Ma double vie : mémoires de Sarah Bernhardt , Paris : Librairie Charpentier et Fasquelle, 1907, chapitre 13)
- Le « tu » est un piège. Il a quelque chose d’étouffant et il instaure de moi à toi une intimité imaginaire avec des relents de grief, il rapproche pour reprocher. — (Annie Ernaux, L'Autre fille, NiL, 2011, page 62)
- (Tî halëzo) ...
- Quand on te donne une baffe, tu la rends.
- T’as pas besoin d’un flash quand tu photographies un lapin qui a déjà les yeux rouges.
Ngëmä [Sepe]
tu! \ty\
- (Akadïi) ...
- Tu ! J’t’l’avais dit !
- Tu, j’vas mett’ le meub’ de même.