vénérer
Apparence
Palî
[Sepe]vénérer \ve.ne.ʁe\
- (Nzapä) sepela
- […]; — ceux-là le croiront qui estiment que Berthe, femme de Girard de Roussillon, a pu entrer dans la légende sans le concours des moines de Pothières, lesquels vénéraient Berthe comme leur sainte; […]. — (Joseph Bédier, « La légende de Raoul de Cambrai (1926) » na Revue historique , Librairie G. Baillière, 1965, Vol.97, p.10)
- Ainsi Le Chesne-Populeux (Ardennes) et La Chapelle-Gauthier (Eure) qui vénèrent au premier chef saint Martin dans un cas et Notre-Dame dans l'autre, avouent saint Jacques pour patron. — (Léon Pressouyre, Pèlerinages et croisades , France Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, 1995, lêmbëtï 89)
- (Zäzämä) kpë
- […], je vénère Faulkner et je ne peux oublier qu’en vérité c’est un pochetron, un pochetron honteux qui se cachait sous des façons collet monté. — (Pierre Michon, Le Roi vient quand il veut : Propos sur la littérature , Albin Michel, 2007)
- De tous les pianistes soviétiques, Sofronitzki fut sans doute le plus adulé du public : Gilels et Richter eux-mêmes le vénéraient et ne manquaient pas ses recitals. — (« Vladimir Sofronitzki (1901-1961) » na Alain Lompech, Les Grands pianistes du XXe siècle , version enrichie, Éditions Buchet-Chastel, 2013, chap. 22)
- Les sadhu ne sont pas des marginaux ou des fanatiques religieux, ce sont des hommes saints, vénérés par les hindous comme des représentants des divinités, entrés dans la voie de la libération et de l'élévation spirituelle. — (Sandrine Prévot, Inde : comprendre la culture des castes , Éditions de L'Aube, 2014)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï