vampire

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Illustration d'un vampire (1).
Un vampire assoiffé de sang (1).

vampire \vɑ̃.piʁ\ linô kôlï

  1. (Tî yëkëmängö, Gbâtolï) (Könöngö) törö
    • De ces grands yeux noirs et humides s’échappait une âme de feu, comme un vampire qui sort d’une tombe, et s’attachait sur le beau visage de l’étranger. — (Léopold de Sacher-MasochDon Juan de Kolomea , in « Contes Galiciens », traduction anonyme de 1874)
    • Est-ce que, pendant votre séjour dans les monts Carpathes, continua en riant le docteur, est-ce que par hasard vous auriez vu des vampires ? — (Alexandre DumasLes Mille et Un Fantômes )
    • Ils affirmaient, « avec preuves à l’appui », que les loups-garous courent la campagne, que les vampires, appelés stryges, parce qu’ils poussent des cris de strygies, s’abreuvent de sang humain, que les « staffii » errent à travers les ruines et deviennent malfaisants, si on oublie de leur porter chaque soir le boire et le manger. — (Jules VerneLe Château des Carpathes , J. Hetzel et Compagnie, 1892, âlêmbëtï 17-27)}
    • Quant à la hyène, sa forme étrange, ses allures mystérieuses, son invisibilité le jour et les ricanements sinistres par lesquels elle annonce sa présence la nuit, en font pour l’indigène une espèce de vampire ou de loup-garou. — (Frédéric WeisgerberTrois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 224)
    • La plus récente causerie de Wambery portait sur l’existence d’un tyran walachien, le Voïvode Drakula (ou Vlad Drakul), réputé buveur de sang humain. Le tout-Londres ne parle bientôt plus que de vampires. — (François Rivière, « Dracula, cent ans et toutes ses dents » na Libération , 31 Kakauka 1987)

Âlïndïpa[Sepe]