vautour
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Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
vautour \vo.tuʁ\ linô kôlï
- (Nyama) ngoalö
- Un vautour fait des ronds dans le ciel, en silence. — (André Duvignac, Comme des oiseaux, 1983)
- (Zäzämä) ...
- Puis, comme la terre a des limites, malheureusement, et que l’appétit de tous ces vautours n’en avait pas, lorsqu’elle fut épuisée et qu’elle eût été accaparée toute, on créa des « fiefs en l’air », qui n’ayant pas de base, pas d’appui sur le sol, reposaient sur des rentes et des redevances incorporelles. — (tome I : Le servage, Librairie Fischbacher, Paris, 1886, page 150)
- (Mbäkôro, Mbîrîmbîrî nî) ...
- Voici le huit, le jour du terme :
Nous n’avons pas le premier sou.
Mais j’attends Vautour de pied ferme,
Qu’il vienne et je lui tords le cou. — (Chants révolutionnaires, E. Dentu, Paris, 1887) - Tu penses bien que je vais pas payer mon vautour ! d’autant que je lui dois plus de quinze jours. — (Paul Vialar, Les Faux-fuyants, Julliard, 1953, page 118)
- Voici le huit, le jour du terme :
- (Zäzämä) ...
- C'est ce qu'a exprimé naïvement Leibnitz et ce que répètent avec lui tous les esprits dont l'intelligence est le vautour : « Il n'est pas nécessaire de vivre, mais il est nécessaire de penser. » — (Remy de Gourmont, Le Chemin de Velours - Nouvelles dissociations d'idées, Mercure de France, 1902, éd. 1911, p. 173)
- Ce jour-là, il buvait froidement la peur dans mes yeux. Mi-vautour, mi-loup. — (Amina Danton, La tangente, Gallimard (NRF), 2009, page 181)
- (Sendâvârä) ...
- D’azur à deux vautours d’argent affrontés, enchaînés d’or par le cou, qui est de la famille Le Valois → bâa illustration « armoiries avec 2 vautours »
Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed., 1995 → dîko mbëtï