vivoter
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Palî [Sepe]
vivoter \vi.vɔ.te\ kürü palî
- (Mbumbuse) bâa pâsi
- Eh bien, elle vivote, elle vend au petit tas, elle se fait encore ses quarante sous par jour… — (Émile Zola, Le Ventre de Paris , 1873; Georges Charpentier, Paris, 1878, ch. I, lêmbëtï 13)
- Le pauvre homme vivotait dans un chaos d’innovations continuelles et acharnées, en un endroit précisément où ces innovations s’effectuaient ostensiblement et impitoyablement. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 6)
- Voilà comment, dans ce pays, depuis un temps immémorial, les gens vivotaient heureux, pratiquant une espèce de communisme familial. — (Ludovic Naudeau, La France se regarde , 1931)
- Les années ont passé. Je vivotais toujours de mon héritage. À part le loyer et la nourriture, je n’avais aucune dépense. — (Amélie Nothomb, Cosmétique de l’ennemi , 2001, lêmbëtï 62)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine