vomir
Apparence
Palî
[Sepe]- dë
- Qu’ils étaient beaux vraiment ces vieux dragons horrifiques, endentés jusqu’au fond de la gueule, vomissant des flammes, couverts d’écailles, […] — (Gustave Flaubert na Maxime Du Camp, Par les champs et les grèves (Voyage en Bretagne) , 1886, Le Livre de poche, 2012, lêmbëtï 209)
- Mon père, en veston d’intérieur, détenait le remède, petit flacon rempli d’un liquide brunâtre qui, disait-il, contenait une plume qui me chatouillerait la gorge, de manière à me faire vomir. Je ne n’aimais pas prendre le vomitif, mais l’idée de la plume m’amusait. ; l’idée aussi d’être le personnage central du drame qui se jouait, en plein milieu de la nuit, avec ma mère assise comme un matrone antique tout près du métal bleu de la « Radieuse » et mon père cherchant l’ipeca parmi les ornements torses du buffet Henri II. — (Michel Leiris, L’Âge d’homme , 1939, collection Folio, âlêmbëtï 65-66)
- (Bîanî) — Pas ramenard pour autant, mais je vomissais qu’une ou deux fois par voyage, pas plus. Quand le pharynx constrictait un chouia, que l’épiglotte yoyotait, j’essayais de penser à France, à petit Fernand, au Samson et à l’Amalthée. — (Gérard-Fernand Bianchi, Brune intestine , éditions Éphémère/Lulu.com, 2015, lêmbëtï 511)
- Il a vomi de la bile.
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï