éleveur
Apparence
Pandôo
[Sepe]éleveur \e.lə.vœʁ\ linô kôlï
- (Bätängö) wabätängö-nyama
- Suivez donc la marche que vous avez adoptée, éleveurs de l’Artois, de la Picardie, du Perche, des Ardennes et de la Franche-Comté, votre intelligence est au-dessus de celle de l’administration des haras. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France , École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- L’éleveur ne peut vendre aucun des chevaux d’élevage de son taboune avant qu'il ait atteint l'âge de trois ans et demi et qu'il ait été présenté à la commission. — (Revue militaire des armées étrangères , éd. R. Chapelot & Cie, 1904, tome 1, lêmbëtï 129)
- De même le chasseur, quand il intervint pour guider les migrations naturelles des troupeaux, qu'il se contentait au début de suivre, devint un pasteur ; puis éleveur, quand il fit venir artificiellement, « agriculturalement », une partie du fourrage. — (René Dumont, Voyages en France d'un agronome , Librairie de Médicis, 1951, note n°1, lêmbëtï 13)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine