abhorrer
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Palî [Sepe]
abhorrer \a.bɔ.ʁe\ palî tî mbenze
- ke
- Comment ne pas abhorrer comme un monstre affreux, comment ne pas fuir comme un spectre hideux, un homme de cette espèce, s’il était possible qu’il n’existât jamais — (Érasme, Éloge de la folie , 1509, Traduction de Thibault de Laveaux en 1780)
- Elle abhorrait le manque de caractère, c’était sa seule objection contre les beaux jeunes gens qui l’entouraient. — (Stendhal, Le Rouge et le Noir)
- D’autres fois, il clamait à pleine voix : – J’aime l’Angleterre, mais le puritanisme, voyez-vous, je l’abhorre, il me donne la nausée, il me soulève le cœur. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 36)
- Elle abhorrait le lait que mon père aimait beaucoup, […]. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes , L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, âlêmbëtï 23)
- Le marquis abhorre son fils Ascagne — (Stendhal, La Chartreuse de Parme)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine